Vous êtes domicilié(e) à Lesquin ?
Dans ce cas, faites-vous établir sans plus attendre votre carte « Lesquin Culture ». Cette carte, nominative et valable pour une durée d’un an (de date à date) ne coûte que 2€ et vous permet de bénéficier d’un tarif préférentiel sur l’ensemble des spectacles produits par la Ville de Lesquin. Elle est amortie dès votre premier achat de billet !
Pour vous la procurer, présentez-vous à l’accueil du Centre Culturel muni d’un justificatif de domicile de moins de trois mois et d’une pièce d’identité. Votre carte vous sera délivrée immédiatement.
Chaque carte permet l’achat d’une (et une seule) place à tarif réduit par spectacle.
Elle vous permet aussi d’acheter vos billets à tarif réduit en ligne.
Pensez à acheter une carte par membre de votre famille susceptible d’assister à nos spectacles.
Le tarif réduit est accordé exclusivement aux détenteurs de la carte « Lesquin Culture ».
William Z Villain
William Z Villain, un nom qui sonne tout autant que sa musique.
Originaire du Wisconsin, cet amateur de chats, maraicher bio à ses heures perdues, joue une musique aux influences aussi variées que le Rebetiko, la musique Afro Cubaine et le blues. Il y a cinq ans il eu la bonne idée d’acquérir une guitare National resonator blanche, grâce à l’argent d’une grande tante aujourd’hui disparue. Cette guitare a été modifiée
pour soutenir 8 cordes.
Auteur du tubesque “Anybody gonna Move“, l’américain vient de faire paraître son premier album.
Midget
Le dernier album de Midget débute sur une scène plongée dans l’obscurité, une obscurité d’avant la naissance ou d’après la mort. Et comme toujours dans l’obscurité, c’est en plissant les yeux ou en tendant l’oreille que les premières formes se font lumière, que les premiers sons se font arpèges.
Micro symphonie baignée dans des courants contraires, eaux douces, fortes ou troubles; lacrymales ou baptismales, polyphonie en dissolution drapée de notes longues comme les songes, mélodies minérales d’un corps retournant lentement à la terre, « Ferme tes jolis cieux » explore l’innavigable espace intérieur, l’indicible processus interne qui refuse de se laisser dompter ou même entrevoir.
En écho à la complexité de l’émotion, l’art combinatoire de Midget applique un système de filtres perspectifs à la matière sonore qui devient elle aussi par ce biais une coulée bouillonnante.
Le vrombissement hypnotique d’un violoncelle, les questionnements d’un vibraphone, les mélopées et crissements d’une guitare viennent ainsi se fondre dans un entremêlement de voix, mouvantes, frémissantes, renversées – à l’image de cet album tout entier.